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Tous les arbres, toutes les plantes…
Récolte de la sève de bouleau
La sève de bouleau est consommée de temps immémoriaux dans les régions sibériennes et scandinaves. Cette pratique ancestrale complète naturellement les très nombreux usages que les peuples nordiques faisaient du bouleau; jusqu’à en faire un arbre sacré tellement il...
Le bouleau, l’avant-garde d’une forêt renouvelée
Il est le premier arbre que les enfants arrivent à nommer tant son écorce noire et blanche est reconnaissable. Il fait partie de l’avant-garde, car il est le plus téméraire pour recoloniser une forêt décimée par une catastrophe naturelle ou les espaces naturels dont...
Le mélèze
Il est aisé de distinguer le mélèze des autres résineux en automne et en hiver : il est le seul résineux européen à perdre ses aiguilles lorsque les frimas s’annoncent. Il prend des couleurs de feu en octobre, passe rapidement du vert tendre au jaune flamboyant....
« Bois sous les Granges », la réserve naturelle de Huguette et ses moutons Herdwick | Vresse Sur Semois
La réserve naturelle du Bois sous les Granges, dans le village de Chairière (commune de Vresse-sur-Semois) est entretenue par quatre moutons Herdwick.
La réserve naturelle des Quatre-Vents | Vielsalm
La réserve naturelle des Quatre-vents est pâturée par des moutons Ardennais roux. Elle compte plusieurs espèces d’orchidées et de libellules.
Le sorbier des oiseleurs
Le rouge des baies de sorbier perce le vert des forêts en été. Pourquoi le sorbier est-il un arbre fétiche en Ardenne(s) et pourquoi est-il un piège pour les grives.
L’épicéa, ce sapin qui n’en est pas un
L’épicéa a fait son lit en Ardenne et ses hautes ramures vert-foncé resteront une caractéristique familière du paysage ardennais.
Le genêt à balais, un colon ardennais
Végétal du printemps, la floraison du rude genêt à balais parsème d’éclats jaunes plus ou moins étendus l’émeraude dominant les paysages d’Ardenne. Allons à sa rencontre.
l’épilobe à feuilles étroites
Commun sur toute l’Ardenne, l’épilobe constitue sans aucun doute l’un de nos végétaux sauvages les plus utiles.
Le pin sylvestre, le bois de mine
Le pin sylvestre, délaissé aujourd’hui, il vécut ses heures de gloire au fond des mines.
L’oxalis petite oseille, trois en une
Chère surelle ! Combien de fois n’ai-je succombé au goût délicatement acidulé de tes feuilles ! Et médité sur elles, sur tes fleurs.
La linaigrette
Même si sa relative rareté lui confère un je-ne-sais-quoi de noblesse supplémentaire, la linaigrette partage avec le pissenlit un mode de reproduction anémophile.
La bourrache, belle paysanne
Avec son nom tellement rural qui donne envie de rouler les « r », la bourrache est à la fois bien jolie paysanne, et une auxiliaire précieuse dont les propriétés médicinales sont toujours appréciées.
La digitale pourpre, une redoutable enjôleuse
Il est pratiquement impossible de passer à côté d’une touffe de digitales pourpres sans remarquer la belle prestance de leurs hampes florales dressées en pleine lumière tout au long des chemins d’Ardenne. Mais attention : la belle est redoutable !
La chicorée sauvage
Son nom vient d’Égypte, d’où cette belle orientale semble avoir conquis nos contrées : la longue floraison de la chicorée sauvage est de toute beauté, et sa descendance est nombreuse.
Le prunellier, noire épine
On l’appelle aussi épine noire, pour le distinguer de l’aubépine (épine blanche) avec laquelle il partage d’abondantes floraisons et de mêmes habitats. Utiles, ses haies ont failli disparaître ; mais ce sont les fruits du prunellier, surtout, qui lui valent une réputation d’excellence.
La Myrtille : perle noire de l’Ardenne
Qui en se promenant dans les forêts d’Ardenne n’a jamais goûté ce véritable délice de la nature fondant et doux au palais ?